Un seul maitre dans ma sélection ciné
Comme je vous l'ai dit la semaine ée, parmi mes films les plus attendus de 2013 ( qui comportait surtout des films prévus pour le premier semestre), figurait un film un peu attendu par tous les cinéphiles de la planète ou presque.
Ce film, c'est The master, le nouveau film très ambitieux de Paul Thomas Anderson, un des cinéastes les plus virtuoses de sa génération. Et ca tombe bien, puisque dès le second mercredi de janvier, il sort en salles.
Evidemment, il ne peut que faire partie de mes films du jour, et évidemment aussi, les deux autres à coté souffrent aussi un petit peu de la comparaison :
1. The master
Le pitch :
Freddie, un vétéran, revient en Californie après s’être battu dans le Pacifique. Alcoolique, il distille sa propre gnôle et contient difficilement la violence qu’il a en lui… Quand Freddie rencontre Lancaster Dodd, charismatique meneur d’un mouvement, il tombe sous sa coupe...
- parce qu'en 16 ans de carrière et seulement cinq films , PTA (le diminutif du cinéaste) s'est forgé à grand coups de chef d'œuvre ( ah, Magniolia, ah Boogie Nights) une aura d'auteur unanimement reconnue;
- car The Master, s'affiche clairement dans la lignée des précédents, avec ces mêmes interrogations sur le rêve américain, sur l'appartenance à un groupe et sur la recherche d'une figure paternelle supérieure - le thème le plus récurrent dans la filmo du bonhomme.
- parce que Philip Seymour Hoffman est de nouveau dans la partie, pour la 5e fois dans un film de PTA après Hard Eight (1996), Boogie Nights (1997), Magnolia (1999) et Punch-drunk love - Ivre d'amour (2002) et que son duo avec le revenant Joaquin Phoenix vaut diablement le détour.
Le pitch :
Elle l’a rencontré un soir de printemps, elle est devenue sa maîtresse. Il lui a offert un revolver, elle une combinaison en latex. Imprudent, il lui a proposé un million de dollars. Insatiable, elle est venue lui rappeler ses promesses...
- pour le casting, dont les contres emplois, de Laëtitia Casta dans le role de la maitresse vénale, et de Benoît Poelvoorde dans celui du banquier, aiguisent bien la curiosité
Une Histoire d'amour Bande-annonce
3. Comme un lion
- car le cinéaste Samuel Collardey avait déjà réalisé un joli film, l'apprenti, qui mélait fiction et réalisme, ainsi que des acteurs professionnels et des amateurs.